Si l'Homme flotte dans un habit que la science a taillé trop grand, l'Institut de la Vie invite l'Homme à grandir.
Plus de 50 ans d'activité, depuis 1960. 3500 hommes et femmes de pensée de 90 pays dont 68 Prix Nobel & 70 conférences internationnales.
Elle est apparue il y a des millions d’années car les constantes fondamentales de l’Univers étaient réglées avec une précision critique pour qu’apparaissent la vie, l’homme, l’intelligence et la conscience. Au commencement il y eut une Energie et une chaleur incommensurable. Un jour furent formées les étoiles puis la matière. La vie, matière animée par cette énergie préexistante, a évolué devenant de plus en plus complexe. L’homme aussi a évolué ; doué d’intelligence, il peut aujourd’hui agir sur son environnement et sur la vie des végétaux, des animaux et de l’homme lui-même. Cela pose un problème de conscience.
La vie est donnée pour le meilleur et pour le pire. Si nous en avons conscience, nous devons privilégier les comportements qui facilitent le bien-être et le bonheur. D’ailleurs, il existe une hormone : l’ocytocine fabriquée par l’hypothalamus et stockée dans l’hypophyse. Elle favorise l’attachement à l’autre, l’empathie, l’apaisement. Elle est secrétée lors des contacts physiques (embrassements, câlins) et spirituels. Elle fait grandir l’amour et le plaisir de vivre.
Elles doivent être liées à un ensemble de règles de conduite qui répondent aux exigences de la vie
Avec la science, nous voulons :
La fondation de l’Institut de la Vie remonte à l'année 1960, peu de temps après que la bombe, conséquence des recherches des physiciens, ait provoqué une catastrophe d'une ampleur jamais connue : le 6 août 1945 à Hiroshima. Ce fut la raison pour laquelle Maurice Marois, professeur à la Faculté de Médecine, créa l'Institut de la Vie. Il était émerveillé devant la complexité du vivant, Inorganisation de la vie et les perspectives qu'elle offre. Conscient des dangers que peut engendrer la science, il a voulu que soit fait le bilan des connaissances afin que les recherches soient mises au service de la vie. Il a réuni en congrès pendant des années les plus grands scientifiques du monde entier qui mettaient en commun leurs savoirs dans de nombreux domaines aujourd'hui de pleine actualité. Il s'est, par ailleurs, adressé personnellement aux plus grands chefs d'Etat et responsables politiques de la planète pour les engager dans cette croisade pour la vie. Après son décès, en 2005, Geneviève Goreux-Marois a repris le flambeau en donnant à l'Institut de la Vie la mission de s'intéresser sur un plan pratique à l'un des thèmes autrefois traités lors des colloques. Le thème du vieillissement fut choisi.